ROMEO ET JULIETTE 5

La colère

Roméo repoussa sa cousine.

"-Tu es folle? s'écria t il, énervé et surpris.

-Non, je te sauve la vie, mon cher cousin.

-Mes parents vont croire que je t'aime

-C'est bien mieu que Juliette Capulet! s'exclama t elle, fière de sa réplique.

-Comment as tu osé? Je suis pratiquement sur, que tu l'as fait exprès pour qu'elle te vois m'embrassé!

-Tu es intelligent, Roméo!

-Rose, tu...

-Que faites vous? La messe va commencé! coupa Mathias, paniqué d'être en retard a la messe du jeudi-comme toutes les messes.Alors, comme si de rien n'était, Roméo rentra dans l'église et s'installa a coté de ses parents. Rose se trouvait juste derriere lui a la droite de Mathias. La messe commença enfin, le père faisait de son mieu pour ne pas froissé les deux familles a cause de paroles parlant de guerre et de trahisons, ce qui faisait que les messes du jeudi étaient bien plus courtes que les autres jours. Roméo chercha discrètement le regard de Juliette, ne la trouvant pas, il s' endormit.

Juliette - qui était installé a côté du Prince Romain- suivit de son mieu la messe mais ses pensées étaient tournée vers Roméo et son baiser avec cette demoiselle qu'elle ne connaissait pas. Elle passa son temps a touchés ses cheveux et a les tripotés. A la fin de la messe, elle alla discuter avec le  prêtre.  Vanessa était sortie de l'église pour la laisser discuter de toutes choses religieuses- ce que n'aime pas Vanessa. La totalité des deux familles partis, Vanessa rentra dans l'eglise et aperçu Juliette parler encore et toujours avec le prêtre. Elle se rapprocha rapidement de la discussion. 

"-Hum... Juliette. Tes parents t'attendent! 

-Vanessa? Hum... Mon père voici Vanessa, ma nourrice. Vanessa je te présente père Grégoire.

-Enchanté.  S' empresse t elle de répondre.  Il faut y aller, ma chère Juliette.

-Je voudrais rester encore un peu. Je reviendrai en diligence. 

-D'accord alors j'y vais, répond t elle avec une touche d'énervement. "

Elle sortit de l'église aussi vite que possible et disparu derrière la porte dorée de l'église en claquant celle ci.

Roméo sursauta au bruit de la porte claquer. Dans une panique étrangère a lui, il se leva et chercha une chose qui pourrait le rassuré. Doucement, il posa son regard sur la belle Juliette qui le regardait bizarrement. son regard suivit ses courbes, sa petite taille, ses belles formes féminines et le reste de son corps avant que le Père Grégoire l'interpella.

"- Roméo? Mais que fais tu, ici?

-Mon père, je m'étais, par mégarde, endormi pendant votre messe et je viens juste de rouvrir mes yeux.

-Une jeune et jolie fille a dût vous empêchez de dormir par son charme et sa jeunesse, mon seigneur. s'indigne Juliette en restant aussi calme que possible.

-Je vous le confirme ma demoiselle, une jeune fille aussi belle que la rosée du matin, sourit il avec un tendre regard adressé a la jeune fille.

-Mes chers enfants, vous devriez retournez chez vous! s'inquiète de Père Grégoire.

-Je suis d'avis avec vous mon père, sourit Juliette.

-Avez vous peur de moi?

-non, je souhaite...

-Parce que je suis Montaigu et vous Capulet? Parce que je suis Roméo et vous Juliette?"

Un silence s'installa, Roméo regarda fixement Juliette qui, elle, regarda ses ballerines rose couverte d'or. le Père Grégoire, lui, se signa et pria en refermant ses mains, l'une contre l'autre, et fermant les yeux. Après se court instant, Juliette marcha jusqu'à Roméo, elle se stoppa a un mètre de lui.

"-Votre naïveté est infini, mon seigneur, Roméo. Vous souhaitez juste obtenir ce que vous ne pouvez pas obtenir. Vous êtes peut être un Montaigu, mais vous êtes surtout un homme qui ne cherche que le pouvoir. Vous...

-Vous vous trompez, la coupa t il sèchement, je ne cherche aucun pouvoir, je ne cherche point a obtenir ce que je ne peux! s'emporta t il.

-Puis je savoir... elle tourne la tête pour regardée le père Grégoire puis reprend en chuchotant, pourquoi cherchez vous a vous rapprochez des Capulet?

-De quoi parle vous? repondit it sur le même ton.

-De moi, je suis l'héritière de ma mère, et peut être celle de mon père, si vous entrez comme ça dans ma vie, toute ma famille se vengera. Etes vous aussi bête?

-Et vous, n'êtes vous pas jalouse?

-Moi, jalouse! Laissez moi rire. Je ne puis être jalouse de la demoiselle qui a posée ses lèvres sur les votre.

-Vous êtes jalouse, si vous ne l'étiez pas, vous n'orez jamais fais allusion a ma... a cette demoiselle.

-Ne croyez pas cela, mon seigneur. Répond elle d'une voix douce et dur a la fois. J'ai l'impression que c'est vous qui...

-Rassurez vous, cette demoiselle n'est que ma cousine. quand celle ci a su mes sentiments a votre égard, elle n'a pu s'empechée de vouloir protégé ma personne. lui chuchota t il a l'oreille."

Roméo recula doucement pour apercevoir la réaction de la belle demoiselle. elle avait les yeux brillant et une bouche formant un magnifique sourire. Elle pensa soudainement: "Ce Roméo me charmerait il? Comment peut il m'aimé? Veut il me tuée? Veut il m'enlevé et demandé une rançon?" , elle recula, se heurta  a un banc de bois, tomba sur celui ci et émit un petit cri a peine odible. Elle ferma ses yeux et dans un bruit de fraqua, tomba sur le sol. Enfin c'est ce qu'elle cru avant de rouvrir les yeux sur des yeux bleu intense, de sentir un souffle court passer sur la totalité de son doux visage et sentit des bras entourés sa taille. Elle n'osa pas bouger, elle resta paralysé par ce regard, par ce corp si proche du sien. Sans plus de cérémonie, il l'aida a se relevée et resta collé a elle.

"- Allez vous bien? Demanda Roméo avec un petit sourire.

-Je...Oui enfin...Non...

-Roméo? Que fais tu? Demanda le Père Grégoire, enfin sortit de sa prière.

-Hum... Mon père, dit il en écartant le corp de la jeune fille du sien, ce n'est point ce que vous croyez, je...

-Ne dis point de songes mon cher Roméo! Juliette?

-Je suis tombée ,en essayant de sortir, a cause de cet homme et il m'a rattrapé de cette horrible manière.

-Ma pauvre enfant! Roméo comment ose tu te comporté de la sorte. Tu mériterais d'être fouétté a coup de martelet.

-Non... soupira Juliette dans un souffle court.

-Il est temps de rentré chez vous, ma chère Juliette. cette discution doit rester entre personnes dur de sentiments.

- Bien, mon père. Dit elle en lançant un regard désolé a Roméo."

Juliette sortit de l'église et appela une diligence.

Roméo resta immobile a attendre qu'il lui face une remarque. Mais il ne dit rien, Roméo ,impatient, donna un coup de pied dans le banc a moitié démolie par le corp de Juliette.

"-Calme toi, dit enfin le père.

-Comment? Je te l'ai avoué, tôt ce matin, par vole d'oiseau! Je l'aime!

-Je te comprend, dit il d'une voix compatissante, mais c'est une demoiselle Capulet, c'est une jeune fille de 16 ans, influancée par sa famille, ses ami(e)s et tout ceux qui l'entoure. Tu es une nouveauté pour elle, rien de plus et c'est aussi une nouveautée pour toi.

-Mais je l'aime. J'en suis sur. 

-Je le sais. Je le sais. Mais , malgré que je puisse préféré le dicton inverse, laisse parlé ton esprit, pas ton coeur.

-Tu ne comprend pas!

-Mais si, Roméo, je te comprend, dit il a bout de force, mais si tu l'aime, tu la mettra dans une mauvaise posture."

Juliette était a table- une longue table dont on pouvais placer une centaine d'invités- a côté de Romain, sa mère et son père en face d'elle et la totalité de sa famille et de celle du Prince. 

"- Ma chère Juliette, envisagez vous de vous mariez avec un quelconque homme? Demanda la mère du Prince.

- Point pour le moment, répondit elle avec un petit sourire timide.

- Envisagez vous de vous mariez et d'avoir des enfants dans votre avenir? demanda encore celle ci.

- Je n'y est point pensée pour l'instant, soupire t elle, mais si cela venait que je rencontre un homme dont les qualitées mene vers un bel avenir, je pourrais l'envisagée.

- De quels qualitées parlez vous? Demanda une fille brune assise a coté de la mère de Romain.

- Je parle des qualitées comme la douceur, la gentillesse, la sensibilité, l'humour, la galanterie, l'amour sincère et bien d'autres qualitées que je ne pourrais nommé de peur d'en oubliée une en chemin, sourit elle.

- Antonio, votre fille est charmante! dit le roi de France, Marius.

- Oui, répondit il sans conviction que tous, oublia la seconde d'après sauf Juliette.

- Si je puis me permettre, fit le prince, je souhaiterais pouvoir passer cette après-diner au côté de votre fille, il regarda Juliette avec un grand sourire avant de regardé Antonio, souriant, et Elinor, souriante aussi.

- Bien sûr, répondit Elinor. Juliette es tu d'avis? Juliette surprise regarda sa mère avec de grands yeux.

- Oui, j'en suis ravie, sourit elle avec des yeux pétillants.

- J'en suis bien aise de vous faire plaisir. répondit il, heureux."

Vanessa rentra dans la pièce dans un grand calme, avant de se diriger vers Antonio. Elle lui chuchota une information dans l'oreille, il répondit d'un hochement de tête et elle s'en alla.

"- Je suis vraiment navré mais une affaire de haute importance m'attend.

- Allez y, si c'est si important que cela, répondit Marius.

- Sa l'est ! Je puis vous l'assurez ! dit Antonio d'un air calme et dur."

Il sortit de la pièce aussi vite que possible.