ROMEO ET JULIETTE 6

Un prince charmant

 Roméo déambulait dans une rue proche de chez lui en repensant a ce que lui avait dit le père Grégoire. " Elle ne désorbéira jamais pour pouvoir passée du temps avec toi. Son père va surement la mariée a un bon parti et elle en sera heureuse. Il faut que tu change tes objectifs, elle ne te veux pas!"

Ses paroles tournent en boucle dans sa tête, il ne pense qu'à elle, a se qu'elle peut bien pensée de lui, elle doit surement pensée a lui ou bien ne vouloir que l'oublié au plus vite pour être toute entière a un époux riche et loyal " ou léche bottes d'Antonio pour avoir sa fille qui ne veux surement pas de lui". Il s'énerva, seul, dans la rue vide a cette heure. marchant de plus en plus vite, il tomba nez a nez avec Mathias qui lui aussi avait l'air énerver. 

"-Roméo?( s'étonna t il avec un petit ton de reproche). Ils te cherchent tous!

-Peu importe ! Qu'est il arrivé?

-Ta cousine!

-Rose? 

-Elle... t'as... embrassée! (chuchota t il tellement bas que Roméo eux de la peine a comprendre).

-OH! Elle a juste voulu...

-Ne cherche pas des excuses! Je savais bien que tu aimais la Capulet.

-Alors, tu me déteste?

-Je cacherais ton secret mais... si tu pouvais évité d'embrassé Rose... (sourit il doucement).

-Promis! Elle est a toi! (rigola gentillement Roméo)."

Rose, essouflé, arriva au bout de la rue. Elle se mit a courir vers leur direction. Elle s'arrêta a quelques mètres de Roméo.

"- Tu es la, enfin. J'ai eux si peur quand je t'ai vu endormie et cette fille a parlé avec le père! Au moins, je suis sur que tu ne t'ai pas fais arrêter. (dit elle en se jettant dans ses bras).

- Ne t'inquiète pas pour moi, je suis malin. Plus que cette petite Capulet. (Il la repoussa). Et puis pourquoi aurait elle fait sa? Dans quel but? 

-A ton avis, cette capulet n'est pas comme toi, elle peut très bien te jeté en prison et souhaité ton execution. 

-Son execution? Les juges ne feraient jamais sa a un innocent!

-Mais il ne sera pas innocent s'il reste aussi près d'elle, elle pourrais mentir et dire qu'il a abusé d'elle.

-Hum... Je suis là!

-Ne t'approche plus jamais d'elle! (dit Rose avant de repartir).

-Viens tu a l'escrime? (souria Mathias comme si de rien était)

- Avec plaisir, ça me changera les idées."

Juliette sortit de table avec Vanessa et rentra dans sa chambre en traversant plusieurs corridors aux rideaux fermer.

"-Alors que vas tu mettre? (Demanda Vanessa en ouvrant une grande amoire et fouillant dedant).

-Ne suis-je pas bien dans cette tenue?

-Bien sûr que non! Pas pour une promenade avec un riche prince de France. (Répondit gravement Vanessa).

-Pour moi ,elle me paraît parfaite, (s'indigna Juliette).

-Je sais que sa ne te plais pas, ma petite Juliette, mais il en est ainsi.

-Pourquoi? (demanda tristement Juliette en se calinant a Vanessa. Elle lui carressa les cheveux.)

-Je ne peux t'expliqué car je ne suis pas de ton monde mais ma chérie, tu n'es plus une enfant, tu as grandie si vite...

-Mais, je ne suis pas non plus une femme.

-Je suis désol..."

La porte s'ouvrit sur Elinor et Roseline qui entrèrent sans gène dans se petit moment d'intimité entre une nourrisse et une jeune fille. Vanessa fit reculer Juliette et fit une petite révérence.

"-Vanessa, (dit Elinor sans beaucoup de respect pour cette nourrisse), veuillez sortir, je dois parlée a ma fille.

-Evidemment madame! (articula la nourrisse. Elle se pressa de sortir.)

-Alors, chère cousine, tu ne sais pas quoi porter pour se rendez-vous?

-Hum...Roseline...

-Oui ma tante!

-Ma petite Juliette, il est temps de te montré tous les avantages d'être une Capulet!

- J'en suis enchantée, mère! (sourit Juliette autant qu'elle pût).

-Puis je, ma tante? (celle ci hocha la tête)

-Ma Juliette d'amour, (Juliette grimaça a se compliment), il est temps de t'apprendre a t'habillé comme une grande avec un gout des plus parfait.

-J'en tressaute de joie, (pouffe t elle. Roseline la regarda d'un mauvais oeil avant de sortir). Aurai-je dis quelque chose de mal?

-Juliette! (Cri Rosaline). Cette robe bleu, simple et brillante, te plais t elle?"

Juliette découvrit une belle robe bleu, droite avec quelques petits motifs par ici et par la.

"- Elle est magnifique, (s'exclama t elle), éblouïe par la robe, elle est pour moi?

-Oui, ma petite amoure, (sourit sa mère, heureuse de voir sa fille dans cette état).

-Mais, la tenue n'est pas parfaite, il te faut des chaussures, (rigola sa cousine rousse).

-Qu'elle sorte de chaussures? (Demanda Juliette soudainement inquiète).

-Celle ci!"

Juliette devenit soudainement pâle, elle aperçu des chaussures blanche -pailletter de bleu- a talon.

"-Il faut bien commencée un jour, (rigola Roseline).

-Mère? ( soupira Juliette).

-Juliette, il est temps de devenir une vrai femme, physiquement.

-Si vous le dites, mère. (chuchota Juliette, au point que sa mère l'entendit a peine)

-Alors? (demanda Roseline, fière d'elle)

-Je te remercie de tout mon coeur! (sourit Juliette avec innocence et sincerité).

- Pour toi, ma petite cousine, je pourrais bien faire cette effort."

Juliette souria gentillement juste avant que sa cousine et sa mère sortent de sa chambre. Vanessa rentra dans la chambre avec des yeux fatigués.

"-Ma Juliette, voici une belle tenue...

-As tu une nouvelle pour moi? (demanda Juliette soudainement inquiète).

-Ma chérie, oui, j'en est une bonne nouvelle! Ton prince t'attendra au jardin de l'enfance vers 15 heures.

- J'en suis bien aise! Crois tu qu'un homme de se rang puisse etre en avance a un rendez vous?

-Evidemment!

- Alors, il n'est plus temps de parler, (commande Juliette), prépare moi, s'il te plais!

-Bien evidemment mon petit amour. (répondit gentillement la nourrisse)."

Roméo se promena au bord d'un petit fleuve sans importance avec une petite fille de 5 ans, sa nièce. A chaque fois, qu'il était avec elle, il apprenait de nouvelles choses sur le peuple, sur les Capulets, sur sa propre famille et autres sujets... cette fois, la conversation était tourner vers Thibault Capulet.

"-Ce méchant Capulet a décidé qu'il se vengerais de tous les mort de sa famille en te tuant et en tuant Marco comme sa, soit disant que les Montaigu serait faible et se soumetterais a lui.

-D'où as tu entendu ça?

-Maman a écrit une lettre a une de ses amies et je l'ai lu en la donnant a cette amie.

-Sais tu autre chose?

-C'est le fils d'Antonio mais tu dois le savoir. D'ailleurs Mathias a dit a Rose que tu avais provoqué la colère de Thibault et aussi d'Antonio. Est ce vrai?

-Je dois t'avoué ma petite chérie que c'est la pur vérité.

-Tu es courageux. Est ce que mon père l'était?

- Ton père? (Roméo pâli a l'idée de pensé a l'un de ses amis mort a cause de Thibault) Il était mon meilleur ami et c'était l'homme le plus courageux de tous, bien plus que moi.

- Je suis sur que mon père t'appréciait beaucoup, (sourit la petite fille avec tendresse).

-Ton père serait fière de la petite fille que tu es devenu. 

-Maman a dit que tu lui avait promis d'être comme un papa pour moi.

- Je ne peux pas être un père pour toi mais je te protègerai toute ma vie, pour tous ce qu'à fais ton père et aussi car tu es la plus mignone des petites filles.

-Te mariras tu avec moi?

-Bien sur, (rigola Roméo), mais c'est interdit par la loi, ma chérie.

-Non, c'est interdit de ce marier avec un ou une Capulet mais pas des personnes de sa famille.

- Hum... Généralement, les enfants non plus...

-Roméo, peux tu m'emmené au parc de l'enfance?

-Oui mon amour."

Roméo prit la fine taille de sa nièce et la souleva dans ses bras.

Juliette, prête dans sa belle robe bleu et ses chaussures a talons, se fit accompagnée par un valet vers une diligence. Elle y pénétra et s'installa avec le valet qui lui se tenait droit et ne fit rien paraitre de ses émotions. Juliette regarda par la fenêtre, défilé un paysage verdâtre remplie d'une belle lumiere jaune. 

                                                                                         * * *

Une vingtaine de minutes plus tard, Juliette sortit, seule, de la diligence. 

"- Ne sortez vous point pour me surveiller?

-Votre père a toute confiance dans ce prince. Quand a moi, votre père m'a ordonné de le rejoindre aussi tôt que vous seriez ici.

-Faites alors."

Et la diligente démarra, laissant Juliette seule dans ce petit coin de verdure. Elle chercha un petit banc sur lequel s'installer mais n'en trouva pas. Elle s'impatientait, le prince ne venait toujours pas, et l'heure avait passer depuis quelques minutes. Seule, elle repensa au visage du prince en essayant d'y être amoureuse mais un visage apparu sans ête très net quand elle se rendit compte que c'était le visage du jeune Roméo. Elle se plaqua le dos contre un tron d'arbre et se soutenue de la seule force de ses bras. Puis des pas retentit, une voix de petite fille rieuse retentit accompagné du voix de jeune homme qui a assez muée pour la reconnaitre entre celle d'un jeune garçon et d'un adulte. Sans plus cérémonie, Juliette reconnu la voix de Roméo.

"-Roméo, puis je jouer? 

-Ma petite chérie, bien sûr.

-As tu vu? Cette balançoire!

-Vas y... (sourit il avec un air enfantin).

Juliette écouta la discution et en fut presque ému. Elle s'assit sur le sol, comme si elle avait pris dix ans, elle passa ses bras autour de ses genoux et rentra sa tête dans l'espace du milieu. La jeune fille ferma les yeux et se sentit partir.

"-Vous attendez quelqu'un? (demanda une voix grave).

-Non. (répondit elle sans changer de position).

-Ce n'est point ce que je crois. ( elle releva la tête et aperçu une silouhaite fine et forte a la fois, un physique de jeune homme. Elle reconnu Roméo).

-Vous?

-Vous? (répondit il avec un petit sourire) Êtes vous en pleure?(demanda t il sérieux cette fois).

-Non point, je me reposais. Et vous, que faites vous?

-Ma nièce... a besoin de distraction, temps qu'elle ne sait pas que je vous parle, tout ce passera bien.

-Je...Veuillez me laissez, je vous en pris.( dit elle en se relevant avec grace)

-Attendez, puis je savoir avec qui vous avez rendez vous?

-Cela ne vous regarde pas!

-Je vous ai avouez que je venais avec ma nièce alors si vous pouviez m'avouez qui vous attendez...

-Vous n'y gagnez rien ( s'énerva t elle) alors laissez moi.

-Arrêtez de m'éviter! (s'agassa t il en lui prenant les bras, elle eux un mouvement de recule et se cogna contre l'arbre. Elle avait le souffle court et son torse était tendu. Il la relâcha en soupirant) Je suis vraiment désolé. Je ne comprend pas ce qui a put m'arriver.

-Vous êtes... ( Juliette admira ses yeux bleu, sa bouche rose pale, ses joues rouges surement a cause d'avoir couru avec la petite fille, et son air de petit garçon)... charmant.

-Vous aussi.( ria t il doucement)."

Roméo se rapprocha du corp de la jeune fille, collé a l'arbre, et colla une de ses mains dans les cheveux de Juliette. Elle ne résista pas, se laissant bercer par les gestes qu'il lui faisait sans avoir peur de ses conséquences. Mais la voix de la petite fille retentit et ramena les deux jeunes gens a la réalité.

"-je suis désolé. ( il s'éloigne d'elle).

-Pourquoi? (sourit elle).

-Adieux, Juliette Capulet! (chuchota t il).

-Non, à bientôt, Roméo Montaigu, ( chuchota t elle en se rapprochant de lui au plus proche qu'elle se le permis)."

Il sourit avant de se retourner pour rejoindre la petite fille. Juliette avança droit devant elle et croisa Romain.

"-Mon seigneur, enfin, je n'attendais plus que vous.

-J'en suis navré de vous avoir fait attendre. mais, je vous pris de m'appeller Romain.

-Romain, ne vous en voulez pas, je suis heureuse de pouvoir passer un petit moment avec vous!

-Moi aussi, Juliette. Votre présence ma toujours réchauffer le coeur. 

-J'espère être la seule a vous réchauffez le coeur. (sourit elle tendrement).

-Et vous l'êtes. ( sourit il avec un air princier).

-Comment me trouvez vous?

-Magnifique, cette robe bleu vous va si bien mais même naturel vous êtes merveilleuse!

-Vous êtes charmant.

-Je suis sincère avec vous ma chère Juliette. ( dit il en prenant la taille de Juliette).

-Vous êtes tellement... aucun homme ne vous ai égal, je ne puis qu'éprouver de l'amour pour vous et seulement pour vous. 

-Avez vous remarquez que je vous aimais? Est ce si evident?

-Je l'ai vu dans vos yeux, et si je puis l'avoué, je vous ai aimée d'ai le début, mon cher, Romain."

Roméo regarda le spectacle entre Juliette et cet homme de style princier. Entendant les moindres paroles qu'ils avaient prononcés, il sut enfin avec qui elle avait rendez vous et qu'elle ne l'aimait pas. Il se retourna et se joignit a sa nièce.

"-Allons y mon petit coeur.

-As tu vus...

-Quoi?(le coupa Roméo).

-La fille d'Antonio Capulet est magnifique avec cette robe bleu et ses chaussures blanche. Maman ne m'a jamais dit qu'elle aimait un aussi beau prince.

- Ta mère va être inquiète, il est temps de rentré.

-Je suis d'avis. (la petite fille couru vers le chemin par lequel ils étaient arrivés)."

Roméo regarda une dernière fois Juliette , qui était entre le bras droit et le bras gauche du jeune homme, et se retourna pour partir.